@Regin Un concert peut inciter à ne plus recommencer malgré tout. Si un prisonnier se morfond, seul et que là quelqu'un lui montre un minimum de compassion en lui offrant un concert, il se peut qu'il puisse avoir un déclic. Ou bien si la musique elle même possède des paroles lourdes de sens, ça peut suffire à faire un déclic. La musique peut toujours "sauver" des personnes par un déclic. Bien sûr ce serait très rare, mais possible. Et même si ils ont un déclic, ils devront payer. Le seul avantage serait que si ils sont libérés, ils ne recommencent plus.
Malgré tout,
@Yhsla , pour moi les prisonniers ayant commis des fautes graves : viols, assassinats, meurtres, cambriolages, vols, etc ne devraient pas avoir le droit d'être heureux. Mais je parle bien de ceux qui l'ont vraiment fait : pas par nécessité, pas par contrainte, pas par accident, etc. Ceux qui ont fait des crimes moins graves, ou simplement qui n'ont pas fait ces crimes de leurs plein gré mais qu'ils y étaient obligés, eux on peut se poser la question de si ils ont le droit d'être heureux. Je rejoins aussi
@purjeur dans ce qu'il dit, les sans-abris n'ont pas tant que ça et il devrait y avoir ds concerts pour des criminels ? :/
Enfin en résumé : un concert peut faire un déclic, les gros criminels ne doivent pas être heureux et il y a d'autre priorités que des criminels.