Les adversaires de la consanguinité arguent qu’en cas de mariage consanguin, les défauts héréditaires ont une possibilité multipliée de confluence. Ils ont tout à fait raison, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut interdire TOUS les mariages consanguins.
Car si les défauts héréditaires ont une possibilité multipliée de confluence, cela veut dire que les qualités héréditaires aussi !
La consanguinité ayant pour effet de réduire la valeur sélective des populations concernées, tout dépend donc de la sélection opérée dans la race.
Prenons l’exemple des chats de race persans.
Ces pauvre bêtes, qu’on exhibe en chatterie et dans les concours, ont la face si écrasée qu’elles peuvent à peine respirer.
"Voila où conduit le désir de pureté de la race !" braient alors les antiracistes "voyez les ravages de la consanguinité !"
Or là ils mentent par omission, car si consanguinité il y a eu, elle l’a été APRES sélection des individus les pires. Il va sans dire que, si dans une race de quelque espèce que ce soit, on n’en fait se reproduire que ses plus laids et mauvais représentants, on aboutira une race homogène dans la tare.
Il y a beau jeu, ensuite, de clamer les mérites du métissage tous azimuts!
Tout ce tapage fait autour des seuls effets néfastes de la consanguinité n’a qu’un but: - mettre dans la tête des Européens que la consanguinité est une chose tellement horrible, que se marier avec une personne la plus éloignée possible racialement ne peut que donner de merveilleux enfants.
Sophisme de l’opposition, donc. Parce que la logique du paragraphe 3 veut que, si on ne laisse se reproduire que les individus les meilleurs, on aura une race homogène en constante amélioration !
Un nombre fort mesuré de personnes suffit à assurer une suffisante redistribution des gènes nécessaires à l'hygiène de la race :
- Pendant des siècles, les habitants d’un petit pays faiblement peuplé comme la Suisse ne se sont mélangés qu’entre eux et ont donné des générations et des générations de beaux jeunes gens sains et forts.
Pendant ce temps, le Proche-Orient où se mêlaient depuis des millénaires toutes sortes de grand’races et de races-types nous faisaient parvenir la peste et la lèpre…Ajout de Cattos :
Nous, les Blancs d'aujourd'hui, descendons de "clans" de quelques centaines d'individus voir quelques dizaines seulement qui apparurent sur la planète Terre il y a longtemps. Cela est la preuve que la consanguinité, en règle générale, est en adaptation parfaite avec l'Ordre Naturelle Universel.Il en va de même pour les autres races dites humaines.