Je suis d'accord, mais y'a aussi un truc que j'ai trouvé flagrant:
On s'emmerde plus en faisant du rp logique que du rp seconde.
J'aime bien faire du rp logique, long, où on a tout notre temps, mais j'ai des fois vraiment l'impression que j'perds mon temps, ou qu'on pourrait juste aller plus vite.
Que ce soit dans une scène ou quelque chose dans le genre, je préfère l'effet torride de la rapidité qui compte et l'adrénaline qui monte à la peur de rater une action qui pourra finir notre personnage.
Après aussi, c'est que maintenant y'a eu l'apparition de discord, habbo servant principalement de lobby et d'endroit pour parler se voit légèrement dépassé par discord qui s'impose, car plus personne n'a besoin de se connecter pour se remettre à la page ni rien, ils n'ont qu'à faire deux trois cliques et avoir tout sur discord. Personnellement avant, je n'avais que skype, et pour savoir ce qu'il se passait, fallait se connecter.
Mais aussi ce qui tue vraiment le jeu de rôle de nos jours, c'est le comportement de la communauté:
Avant des personnes pouvaient être principalement fanatiques des personnes qui faisaient du jeu de rôle, alors qu'aujourd'hui, y'a une mode qui souhaite dire "oui gomuscu sinon pucix" du coup dès que tu commences à faire ton jeu de rôle, t'auras toujours des profonds bouffons qui vont vouloir te discréditer car eux irl c'est des gangsters, ils ont déjà mis une droite à un type qui leur parlait mal wow.
Fin bref, le plus gros impact, c'est au niveau de la communauté, tu peux plus faire de jeu de rôle sans te faire ficher ou même des fois moquer sur le forum. (comme on peut voir pour certains.)
Comme la mode du geek, avant c'était stylé, mais maintenant c'est révolu, avant des personnes s'auto-proclamaient geek pour le style alors que maintenant c'est péjoratif, c'est un phénomène de mode, rien de plus.
Le jeu de rôle pourra uniquement redevenir stable si ça redevient à la mode dans les parages, ça l'a été ici mais tout est obtus et indécis, il en a été assujetti mais ce n'est plus le cas.
En espérant qu'un jour ça revienne.