Jean du tronc, pour tout te dire, en règle générale, je ne communique pas avec les nègres. Question d’éducation. A l’oral, toute tentative de conversation directe leur est très difficile : leur lèvre inférieure est trop épaisse, leur intelligence aussi, et ils sont d’ordinaire sous l’influence de drogues bon-marché, ou ivres-morts après deux Kronenbourg.
NB : C’est pourquoi les nègres babillent entre eux, et semblent, du reste, assez bien se comprendre. Il arrive toutefois qu’ils tentent de babiller à l’intention d’un humain, et l’un d’eux essaiera peut-être un jour de vous babiller quelque chose. Dans ce cas, il est préférable, comme lors de toute confrontation avec un animal sauvage, de s'en tenir à une position défensive. Demandez au nègre de répéter sa phrase, aussi lentement et distinctement que possible. S’il continue à babiller de manière incohérente, dites : « Je n’ai pas de cigarette à offrir, je ne souhaite pas acheter de crack, je n’ai pas de petite monnaie, et j'ignore où se trouve le Mondial Phone le plus proche. J’ai, par ailleurs, un 45 chargé dans ma poche, et, si tu essaies de me racketter, je n'hésiterai pas à faire sauter ta cervelle de nègre. Peu importe ce que le nègre essayait d’exprimer, cette formule couvre tous les cas de figure.
A l’écrit, - lorsque, grâce aux méchants blancs nazis buveurs de sang, les nègres disposent d’un minimum d’alphabétisation (eux qui n’ont jamais été fichus de concevoir le moindre système d'écriture – ni, plus simplement, de ne pas mourir de faim, bien que leurs terres soient les plus fertiles et les plus riches du monde), - l’odieux le cède au ridicule : le nègre (comme le juif, son frère de race) se met à singer le Blanc, et il devient alors du plus haut intérêt comique de le pousser dans ses retranchements, pour voir à quel moment le personnage « humanophone s’effondre et le babouin loupé réapparaît.
Le babouin que l'on peut tout aussi nommé le "Dos argenté" qui fait référence à un membre proche de sa race familiale, le gorille.