[...] C'est alors qu'Hagrid, surgit de nulle part, tendis-que je me délectais de cette sensation de confort inouï. Je n'avais pas été autant gênée, depuis Le coup de Gyts. Lorsqu'elle m'a humilié en public *snif*, mais je m'égare.. car oui, Hagrid est toujours là, pointé devant moi, puis il me dit en bafouillant dans sa barbe velue :